Noëlle et Marcel RENAULT vous accueillent
aux gîtes de la Lotée
Nos coordonnées :
3, place de l'Église
55700 Halles sous les côtes
Tél. : 03 29 80 40 85
Fax : 03 29 80 98 54
Halles-sous-les-côtes est l’un des villages les plus typiques et les mieux conservés du Pays de Stenay, où l’on peut découvrir un bel ensemble architectural datant du XVIIIe siècle.
Le village de Halles possède un patrimoine architectural particulièrement riche et varié, notamment un lavoir à colonnes incroyablement beau, un gayoir où l'on baignait les chevaux, son ancienne mine transformée en refuge pour les chauves-souris, son église Saint-Barthélémy qui renferme une statue de la Vierge de Montserrat (Espagne) et un extraordinaire mobilier de pierre.
Il est bien fourni en eau qui coule abondante et claire dans les lavoirs et fontaines du village.
Halles demeure un village dynamique, autour de son église, de ses gîtes et de ses vergers : brocante, expositions et conférences, randonnées, animations diverses rythment toujours l'année.
L'église Saint-Barthélémy fut reconstruite en pierre de Halles en 1788. mais le docher date de 1855, le choeur et le transept de 1867-1868. Elle renferme encore une statue de la Vierge de Montserrat (Espagne) et un extraordinaire mobilier de pierre qui témoigne d'une grande maîtrise de l'artiste et de ses grandes connaissances en symbolique et religion.
Son église est entrenue , rénovée et animée par une association du village: "Les Amis de Monserrat" en souvenir du passage des Espagnols dans la région qui ont apporté la fameuse icône de la "Vierge Noire".
Cette association organise régulièrement des animations autour des cérémonies à l'ancienne (baptème, mariage, obsèques 1900...,) ou exposent les ornements religieux, les dentelles de nos grands mères ..
Un pèlerinage séculaire y a lieu tous les ans en septembre. Il attire une foule de croyants vers une grotte à la source miraculeuse, dédiée à Notre-Dame de Montserrat.
Visitez aussi ses lavoirs , dont celui en forme de halle, montée sur colonnades qui se dresse sur la place.
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Derrière, le "gué" (ou égayoir) où l'on baignait les chevaux au retour des travaux des champs.